Accueil » Green buildings : Comment investir pour que les bâtiments ne rendent plus malade…
Green buildings : Comment investir pour que les bâtiments ne rendent plus malade…
Le développement de bâtiments dit verts (green buildings) a été grandement accéléré par des labels tels que LEED ou BREEAM. Ces systèmes de certifications sont simplistes et ils ont souvent été critiqués pour la faible qualité environnementale des bâtiments qu’ils validaient. En plus, les utilisateurs du bâtiment
passaient souvent après sa consommation énergétique ou son impact environnemental. Alors que penser de ces nouveaux labels qui adressent cette faiblesse ?
Fitwel will join the WELL rating standard, which stormed the property development and design world a few years ago to link the rising concern for health and wellness to the quality of buildings.
The tool has been developed by the US Centers for Disease Control and Prevention and the General Services Administration, and is operated by the not-for-profit Center for Active Design.
It was launched in the US in March last year.
Dr Engelen said the work involved more than 3000 peer reviewed studies, with a weighting system based on the strongest empirical evidence.
She says the big advantage of Fitwel over WELL will be its independence and “ideological” difference. In other words, it’s relatively low cost, at a flat US$6500 for buildings irrespective of size. WELL by contrast is privately owned.
Dr Engelen became an ambassador last year and was then approached by AMP which had heard about the rating, she said.
She says there are “one or two” other ambassadors in Australia but there may soon be more: one professional in the healthy buildings space told The Fifth Estate late on Thursday that they were considering taking the course to become an ambassador.
Dr Englelen said in the US thousands of buildings were going through the certification process and several hundred had already been certified.
Normes, réglementations et lois sont là pour garantir un certain niveau de performance et de qualité des constructions. Mais elles définissent un niveau minimum à atteindre. Elles poussent le marché. Elles ne poussent pas à l’excellence. Elles ne poussent même pas à l’optimum performance, coût, retour sur investissement. C’est le rôle des labels. Ils sont là pour tirer le marché. Faut-il encore qu’ils soient performants. De fait, au nom du pragmatisme et d’intérêts privés, beaucoup de labels sont simplistes et centrés sur un domaine. Ils « oublient » la complexité des interactions du bâtiment avec ses utilisateurs, son
environnement, la #ville …
Que vous soyez investisseur, gestionnaire de centre-ville ou responsable d’une ville qu’elle soit #smart city ou pas, il est donc primordial que vous regardiez les effets de
bords créés par des labels présent dans votre portfolio.
Retour aux actualités